Presse Schumann

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Schumann : Pièces pour alto, clarinette et piano

Les jeunes musiciens possèdent ce je-ne-sais-quoi charmeur qui rend leur interprétation à la fois vivante et délicate dans le raffinement. Un coup de maître.
Stéphan Vincent-Lancrin Classica, Septembre 2001

Une vision plastiquement et musicalement exemplaire
Piano Magazine, Octobre 2001

L’altiste Vinciane Béranger, remarquablement accompagnée par Anne-Lise Gastaldi, sait évoquer cet univers étrange, rendant son archet presque aussi fluide, immatériel ou au contraire pénétrant que le hautbois (Opus 94), la clarinette (Opus 73) ou le cor (Opus 70). Leur duo dans d’admirables Märchenbilder retrouve un climat féerique parfaitement en situation, et lorsque la clarinette subtile de Florent Héau se joint à elles dans les Märchenerzählungen, la conversation s’ouvre sur de profondes perspectives, avec quelque chose d’encore plus douloureux et mystérieux.
Patrick Szersnovicz Le Monde de la Musique, Octobre 2001

Une nouvelle révélation.

La finesse extrême du jeu d’archet hypersensible, aérien et toujours juste de Vinciane Béranger. L’ensemble de ces pages respire d’un mélange d’élégance, de profondeur, de sincérité qui, sans le moindre narcissisme, péché mignon de bien des interprètes, assure un dialogue d’une telle continuité et d’un tel délié que l’on a souvent l’impression que le son provient d’une source unique. Pas d’appropriation égoïste donc, mais un geste convivial et fraternel, altruiste, qui, en transfigurant la musique, se libère comme il libère l’auditeur, envoûté par la fascinante subtilité des pistes suggérées. […] Une merveille de frémissante beauté et d’intensité poétique et un apport majeur à la discographie.
Pascal Brissaud Répertoire, Août 2001

L’instrument de Vinciane Béranger est d’une grande richesse expressive, tendre sans être affecté, mélancolique plutôt que résigné, tout à la fois chaleureux et légèrement amer… Cette interprétation évoque la confidence, et son lot d’émotions contenues, de non-dits et de pudeur. Rarement l’expression « musique de chambre », dans son sens premier, aura décrit avec autant de justesse ce que cherche à traduire cette lecture intime et subtile.
Jérôme Bastianelli Diapason, Septembre 2001

Cette interprétation témoigne d’une grande sensibilité et d’une belle complicité. La variété des couleurs et des climats et la beauté du jeu instrumental sont tout à fait réjouissantes
Olivier Bellamy Epok, Juillet-Août 2001