Mozart : Sonates K378 et 380
Mozart dialogue avec ses Dieux.
Jean Cabourg Diapason, Juin2008
Cette version semble couler de source. Les rapports de timbre et de dynamiques, la ligne ductile, les sautes d’humeur et les bouffées de tristesse. Tout l’art de Mozart est là.
La Croix, Mai 2008
Sans que l’un ne supplante l’autre, les musiciens, particulièrement inspirés, se partagent un discours sans chichis, à l’énergie judicieusement canalisée et à l’expressivité admirablement tenue.
Sébastien Foucart ConcertoNet, Juin 2008
le Quatuor Manfred prodigue ici une recherche stylistique juste, un souffle unique, et une grande subtilité.
Alexandra Diaconu Res Musica, Octobre 2008
« Quelle interprétation! La luminosité du timbre de la clarinette, la superbe articulation et la clarté de texture des cordes en sont incontestablement les points forts. »
Valeurs actuelles, Mai 2008
un résultat évoluant constamment sur les cimes. A cela s’ajoute l’alchimie opérée avec le Quatuor Manfred, garant d’une lecture habitée, lumineuse et servie en toute simplicité. Sans que l’un ne supplante l’autre, les musiciens, particulièrement inspirés, se partagent un discours sans chichis, à l’énergie judicieusement canalisée et à l’expressivité admirablement tenue. Les inventions mélodiques de ce chef d’œuvre tardif se révèlent dès lors pleinement.
The Classical Music Network, Sébastien Foucart, Juin 2008
« The superb performances elevate the disc above curiosity status »
Sunday Times, Août 2008